Depuis le 26/4/2015 un mouvement de contestation contre le deuxième mandat constitutionnel du président NKURUNZIZA PIERRE a éclaté. Le même mouvement est un mouvement qui a été mêlé par un coup d’état pour terminer ce mouvement qui devenaient de plus en plus long et sans succès.

Ce qui est étonnant dans ce mouvement est que est un mouvement qui comprend beaucoup de monde c-à-d l:l'église catholique,certaines leader des église protestantes ayant des trait communs avec l'origine rwandaise,les pays comme le Rwanda, les USA, les ambassadeurs .etc.Ce qui est n'est pas compréhensible est que ce lui qui devraient être comme médiateurs càd la société civile burundaise à révélée son vrais image dont celle des politiciens car ce sont eux ont ont pris le devant dans ce mouvement.

Il y a en qui se réclament les défenseurs des droits de l'homme; de l'enfant,des handicapé,des femmes etc où ils sont maintenant.

Est ce qu'il n y a pas d'hommes ,enfants,femmes,handicapés etc qui sont en train de mourir ou souffrir maintenant dont les droits sont bafoués?

Est ce que l'accord d'Arusha demande que les défenseurs des droit de l'enfant appellent ces derniers dans la rues?

Pourquoi ceux qui étaient à ARUSHA ont ils besoins de la couverture des enfants pour arriver aux postes politiques?

On se demande ce que les hommes de la certaines organisations de la société civile,le hommes politiques ,certaines hommes de l’église,certains militaires,une partie des universitaires,le RWANDA.,les USA etc ont de commun pour laisser le peuple burundais mourir comme nous le voyons.

La question que tout le monde se pose est:EST CE QUE VRAIMENT LA QUESTION D'ARUSHA EST ELLE UNE QUESTION QUI DOIT LAISSER LES BURUNDAIS MOURIR? de facon que les burundais ne peuvent pas s'assoir et en discuter.

Pourquoi chaque personne qui n'est pas manifestant est appelée IMBONERAKURE mais aussi un MILITAIRE et POLICIER hutu sont aussi des IMBONERAKURE.

C'est comme à l'époque où on appelait les gens des maquisards,des assaillants,de MURERE

Au Burundi cette période on ne voulait pas la revivre. A SUIVRE